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Voici trois raisons pour lesquelles certains partisans des Canadiens de Montréal pourraient considérer Marc Bergevin comme l’un des pires directeurs généraux de l’histoire de l’équipe :
1. La gestion controversée de P.K. Subban et d’autres échanges douteux
Le transfert de P.K. Subban contre Shea Weberen 2016 est l’un des mouvements les plus polarisants de son mandat.
Subban, très apprécié par les fans pour son talent et son implication communautaire, représentait une star moderne et un symbole de diversité.
Bien que Weber ait apporté du leadership, son contrat à long terme et sa condition physique ont été un risque énorme.
Ce type d’échange, ainsi que d’autres transactions douteuses (comme l’échange de Sergachev contre Jonathan Drouin), a laissé l’impression que Bergevin n’excellait pas dans les négociations d’envergure.
2. Incapacité à bâtir une équipe compétitive sur le long terme
Sous Bergevin (2012-2021), les Canadiens ont connu une certaine instabilité :
Des performances irrégulières, oscillant entre des années de succès en séries (notamment la finale de 2021) et des saisons médiocres.
Un manque de constance dans le développement des jeunes talents et l’acquisition de joueurs vedettes, laissant l’équipe sans véritable identité offensive ou défensive.
Certains contrats à long terme attribués à des joueurs peu performants (comme Karl Alzner) ont également limité la flexibilité financière du club.
3. Une communication parfois maladroite et des choix polarisants
Bergevin a été critiqué pour ses prises de décisions qui semblaient parfois déconnectées des attentes des fans et de l’évolution du hockey moderne :
Lorsqu’il a sélectionné Logan Mailloux au repêchage 2021, malgré les polémiques entourant le joueur, cela a terni son image et celle de l’organisation.
Sa réticence à s’adapter à des modèles plus axés sur les statistiques avancées ou une approche analytique plus moderne a aussi frustré certains partisans.
Conclusion
Bien que Marc Bergevin ait connu certains succès (comme la finale de la Coupe Stanley en 2021), les décisions polarisantes et les erreurs de gestion stratégique ont laissé une partie des partisans déçus. Ces critiques font de lui une figure controversée dans l’histoire récente des Canadiens.